Le président Emmanuel Macron effectuera une visite d’État au Maroc du 28 au 30 octobre 2024, accompagné de plusieurs personnalités politiques et économiques de premier plan.
L’objectif de cette visite est de renforcer les relations bilatérales entre les deux nations, avec un accent particulier sur le partenariat économique et les investissements. Une attention particulière est accordée à la délégation économique, composée de plusieurs chefs d’entreprises influentes, notamment des dirigeants de grands groupes cotés au CAC 40.
Une délégation économique de poids
La liste des participants montre la présence de nombreux représentants du monde industriel et économique, incluant des PDG de groupes influents. Parmi eux, plusieurs patrons de grandes entreprises du CAC 40 se joindront à cette mission, traduisant l’importance de cette visite pour le développement des relations économiques franco-marocaines.
Les noms notables incluent Frédéric Arnault (LVMH), Christelle Heydemann (Orange), Catherine MacGregor (ENGIE), Patrick Pouyanné (TotalEnergies), Henri Poupart-Lafarge (Alstom), Ross McInnes (Safran) ou encore Rodolphe Saadé (CMA CGM)
Ces dirigeants représentent des secteurs variés tels que l’énergie, les transports, les télécommunications et le luxe, symbolisant l’étendue des relations économiques entre la France et le Maroc.
Une visite axée sur l’économie et la coopération bilatérale
Au-delà de leur présence symbolique, les patrons du CAC 40 participeront activement à des rencontres économiques stratégiques. Le programme prévoit notamment la clôture des « Rencontres entrepreneuriales Maroc-France » par Emmanuel Macron, un événement clé pour stimuler les investissements bilatéraux et favoriser des collaborations dans des secteurs d’avenir.
Lire aussi | Business, culture et immigration… Macron entame une visite d’Etat historique au Maroc
Les entreprises françaises, largement implantées au Maroc, bénéficient d’un environnement propice aux investissements, notamment dans l’industrie automobile, l’énergie renouvelable et les télécommunications. Avec près de 1 000 entreprises françaises déjà présentes, cette visite pourrait renforcer encore davantage la dynamique d’investissements mutuels.
