GAFAM
Au Maroc, le dilemme de la taxation des GAFAM
Dans une note, la Direction générale des impôts (DGI) a décidé de faire passer à la caisse les stars des plateformes numériques. Mais qu’en est-il des plateformes elles-mêmes ? Il y a quelques mois, la DGI a décidé de prendre ses responsabilités vis-à-vis des nouveaux types d’opérations économiques hébergées par
Les réseaux sociaux : une économie réelle ?
Meta, X, Instagram, TikTok… ces plateformes numériques n’ont pas fini de conquérir le monde. Captivant l’attention de milliards de personnes, « les indispensables 4.0 » favorisent le lien social et sont devenues de véritables économies à part entière, au-delà du virtuel. Paul Romer, Prix Nobel d’économie en 2018, explique dans
Les objets connectés à la maison nous écoutent-ils vraiment ?
Dans l’un de ces formats sur le capitalisme de surveillance à objectif commercial (service personnalisé), la chaîne Arte a révélé que tous les objets connectés, au-delà de leur utilité à la maison, ont pour objectif aussi de recracher auprès de leur maison mère toutes les informations qu’ils captent… Alexa, Siri,
Taxe Gafam, la DGI prend ses responsabilités
Longtemps débattu, le projet de taxation des plateformes numériques sera bientôt une réalité au Maroc. Le Royaume s’alignera ainsi sur les pratiques fiscales internationales. Quand les Gafam passeront à la caisse. Dans une circulaire relative aux mesures fiscales de la loi de finances 2024, la Direction générale des impôts explique que
Netflix, Airbnb… Voici les nouvelles obligations du PLF 2024
Le Maroc se lance dans la réglementation fiscale des géants du numérique avec de nouvelles obligations pour les entreprises étrangères fournissant des services à distance. Dans le cadre du projet de loi de Finances (PLF) de l’exercice 2024, le gouvernement propose de nouvelles obligations fiscales pour les entreprises étrangères fournissant
Souveraineté numérique. Le modus operandi pour affranchir le Maroc de la « colonisation numérique »
À une époque où nous sommes submergés par le modèle économique de la gratuité des services en échange de la collecte de données, l’experte en stratégie, Manar Belfqih, propose une approche systématique visant à permettre au Maroc d’atteindre la souveraineté numérique. Dans cette perspective, des initiatives concrètes, telles que le
Gafam. Le Canada dit non aux pratiques monopolistiques, qu’en est-il du Maroc ?
Avec son projet de loi C-18, le gouvernement canadien exige un partage des revenus publicitaires. Mal reçu auprès du top management de Facebook, cette décision devrait coûter à Facebook et Instagram environ 10 millions de dollars canadiens (6,9 millions d’euros) par an. En attendant au Maroc, la plateforme se frotte