stress hydrique

Simohamed Azzouz : «Il y a une prise de conscience chez les agriculteurs de la nécessité de s’adapter au changement climatique»
La crise de l’irrigation provoquée par la sécheresse persistante est un défi urgent qui nécessite une action immédiate et concertée. Il est donc crucial d’investir dans des technologies et des pratiques d’irrigation durables, de promouvoir une gestion responsable de l’eau et d’impliquer les parties prenantes à tous les niveaux pour

Stress Hydrique : faut-il stopper les cultures dépensières en eau ?
L’avocat et la pastèque sont des cultures prises pour cibles dans cette conjoncture hydrique. Aujourd’hui, plusieurs voix s’élèvent appelant à l’abandon de ces cultures. Cependant, qu’en serait-il des conséquences sur les devises? Analyse. Dans une récente publication, le Centre scientifique européen de l’Union européenne (UE) a publié un rapport alarmant

A Casa-Settat, la pluviométrie a baissé de moitié par rapport à l’année dernière
La saison agricole 2023-2024 au niveau de la région de Casablanca-Settat revêt un caractère « exceptionnel » en raison de certaines contraintes liées principalement à la faiblesse des précipitations. Un constat dressé par le directeur régional de l’agriculture à la région de Casablanca-Settat, Hssain Rahaoui lors d’une rencontre organisée jeudi soir à

Autoroutes de l’eau : lancement d’un second tronçon
La réalisation des travaux d’interconnexion des barrages Oued El Makhazine et Dar Khrofa, pour un montant avoisinant les 800 millions de dirhams, a été attribuée à deux groupements d’entreprises. L’appel d’offres relatif au projet de la future «autoroute de l’eau», reliant sur 50 km les barrages Oued El Makhazine et

Larbi Zagdouni : «Les facteurs climatiques ne sont pas les seuls à l’origine de la gravité de la situation actuelle des ressources hydriques au Maroc»
La question de l’eau est transversale. Elle est nécessairement présente dans toutes les politiques publiques, directement ou indirectement. Elle l’est surtout dans le domaine agricole. C’est là une évidence. Pour une politique d’eau durable, il est donc urgent d’orienter l’action publique vers une adaptation, voire une transformation radicale de l’agriculture,

Sécheresse. Le Plan de bataille du gouvernement
Le Maroc n’a pas vécu une telle situation climatique depuis la grande sécheresse des années 1980. Depuis cinq ans, entre 2018 et 2023, le Royaume connaît encore l’une des pires sécheresses de son histoire. Comment le Maroc compte s’en sortir ? Les chiffres fournis par Nizar Baraka, ministre de l’Equipement

Stress hydrique. Comment le royaume va faire face
Le déficit en eau, couplé avec la multiplication des épisodes extrêmes placent le royaume dans une situation climatique préoccupante. Le temps pour le Maroc, au plus haut niveau de l’Etat, de tirer la sonnette d’alarme. Face aux effets déjà visibles du changement climatique, dont le stress hydrique n’est que la

Dessalement, eaux usées… Voici les mesures mises en place par Baraka pour lutter contre la sécheresse
Selon l’ONU, le Maroc est déjà considéré en stress hydrique avec seulement 620 mètres cubes d’eau douce par habitant et par an, contre 2.500 en 1960. De plus en plus agressif, le gouvernement est plongé dans une énième situation de crise hydrique aux externalités doublement sévères autant sur le plan

Sécheresse : Fouad Amraoui, professeur hydrologue, tire la sonnette d’alarme
Fouad Amraoui, professeur chercheur en hydrologie à la faculté des sciences Ain Chock de Casablanca fait le point de la situation hydrique au Maroc et esquisse quelques pistes de travail pour réduire l’impact de la sécheresse et rationaliser l’utilisation de l’eau. – Le Maroc enregistre ces dernières années une faible

Restrictions hydriques à Casablanca : une goutte d’eau ?
Les autorités de Casablanca ont décidé de resserrer la vis concernant l’utilisation de l’eau potable face au déficit pluviométrique que subit le pays. Une décision salutaire mais insuffisante à l’échelle nationale. Le wali de Casablanca, Mohamed Mhidia, a publié, mardi 23 janvier, une circulaire imposant des mesures de rationalisation de

Stress hydrique : le Maroc accélère son action
Le Maroc dispense des milliards de DH dans une course contre la montre pour faire face à la menace grandissante de stress hydrique. Les plans nationaux, dont le Plan de l’eau 2020-2050 et le Plan d’approvisionnement en eau potable 2020-2027, requièrent d’énormes investissements de 383 milliards de DH et 143

Usines de dessalement d’eau de mer. Une armada de groupes espagnols face à 2 groupes français
Sous l’effet de l’augmentation du stress hydrique dans plusieurs régions du monde et de la réduction des coûts, le marché de la construction et de l’exploitation des usines de dessalement d’eau de mer connaît un boom sans précédent. Le Maroc qui vit depuis quelques années une crise d’eau, a un