Dossier

Voici les principaux projets qui seront inaugurés en 2025 (2/2)

2025 s’annonce comme une année décisive pour le développement du Maroc. Entre les ambitions écologiques du Groupe OCP, la construction de nouveaux CHU, l’avancement du gazoduc Nigeria-Maroc, et des projets énergétiques innovants, le Royaume se positionne comme un acteur clé sur la scène internationale. Découvrez les grands projets qui façonneront l’avenir du pays.

Port Nador West Med

Le port ambitieux en eau profonde de Nador West Med, situé dans la baie de Betoya, à 30 km à l’ouest de Nador, ouvrira dans quelques mois, probablement au premier trimestre 2025. Les travaux sont désormais achevés. Bien que la préouverture et les premiers tests à grande échelle se dérouleront bientôt, la mise en service complète de la plateforme portuaire et logistique est prévue pour 2027.

Ce futur géant portuaire apportera de nouvelles capacités, créant des synergies et des complémentarités avec le port de Tanger Med et, plus tard, avec celui de Dakhla Atlantique. Le port sera principalement axé sur les produits pétroliers. En plus des 3 millions de conteneurs qu’il pourra accueillir dès son ouverture, Nador West Med sera en mesure de traiter jusqu’à 25 millions de tonnes d’hydrocarbures. Grâce à sa capacité à traiter d’importantes quantités de pétrole, il offrira des silos de stockage pour les distributeurs nationaux de carburant, mais aussi pour les transporteurs pétroliers internationaux. Alors que l’Europe se fournit principalement à Rotterdam, le Maroc espère devenir un acteur clé dans le bassin méditerranéen et pour l’Afrique de l’Ouest.

Pour rappel, le marché de construction du port a été attribué en 2016 à un consortium comprenant la Société Générale des Travaux du Maroc (SGRM), l’entreprise turque STFA et le groupe luxembourgeois JDN.

Nouvelle gare de Hay Riad à Rabat

La nouvelle gare de Hay Riad sera opérationnelle à temps pour la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) que le Maroc accueillera en 2025. Les travaux de construction de cette gare de dernière génération ont débuté en février 2024 sous la conduite de l’ONCF.

Lire aussi | Voici les grands projets qui seront lancés en 2025 au Maroc (1/2)

S’inscrivant dans la dynamique de transformation du projet « Rabat, ville lumière » et répondant aux besoins croissants du transport de passagers, les gares ferroviaires deviennent désormais des centres de vie et des pôles d’échanges multimodaux.

Dans cette perspective, la gare de Hay Riad bénéficie d’une localisation stratégique. Elle sera conçue sous forme de gare-pont, reliant l’avenue Annakhil à l’avenue Hassan II, tout en desservant le complexe sportif Moulay Abdellah. Cette gare moderne, équipée de nombreuses commodités (parkings, commerces, etc.), sera adaptée aux dessertes locales. Elle devra être pleinement opérationnelle pour coïncider avec l’événement sportif de 2025.

Le bâtiment comprendra un rez-de-chaussée de 4 500 m, divisé en deux blocs : l’un côté avenue Annakhil, l’autre côté boulevard Hassan II. Une mezzanine de 200 m est prévue du côté de l’avenue Annakhil, tandis qu’un bâtiment-pont au-dessus des voies ferroviaires occupera une superficie de 2 300 m.

Le projet comprend également l’aménagement des quais et des espaces extérieurs (espaces verts, zones intermodales, etc.), ainsi que la construction de deux parkings souterrains accessibles depuis les deux avenues, reliés par un passage sous les voies ferrées.

Centre Hospitalier Universitaire (CHU) de Laâyoune

Les travaux de construction du Centre Hospitalier Universitaire (CHU) de Laâyoune seront achevés en décembre 2025. Avec un taux d’avancement de 68 %, le projet progresse rapidement. S’étendant sur 180 000 m, dont 95 000 m couverts, il bénéficie d’une enveloppe budgétaire de 1,2 milliard de dirhams. Le CHU, d’une capacité de 500 lits, deviendra un pôle médical majeur pour les régions du Sud du Royaume. Ce projet s’inscrit dans une stratégie sanitaire régionale et sera doté de ressources humaines qualifiées, visant à améliorer les indicateurs de santé.

Le CHU de Laâyoune accueillera également des professionnels de santé venus d’Afrique subsaharienne, dans le cadre de la coopération Sud-Sud, et soutiendra la formation des étudiants de la Faculté de médecine et de pharmacie de Laâyoune. Ce centre de cinq étages comprendra des services spécialisés tels qu’un pôle mère-enfant, un pôle médico-chirurgical, un pôle médical, un hôpital du jour, un service des urgences, un bloc de soins intensifs et de réanimation, un bloc opératoire, un bloc obstétrical et un hôpital psychiatrique.

Station de dessalement de Dakhla

Le projet de dessalement de l’eau de mer à Dakhla, d’un investissement total de 2,42 milliards de DH, inclut 1,98 milliard de DH pour la construction d’une station de dessalement et d’un parc éolien de 60 MW, et 442 millions de dirhams pour le réseau d’irrigation. Il permettra de créer un nouveau périmètre irrigué de 5 000 hectares.

Lire aussi | Projets structurants: Le traitement de choc

Actuellement, le taux d’avancement des travaux de la station dépasse 63%, et selon le ministère de l’Équipement et de l’Eau, l’usine de dessalement sera livrée en décembre 2025. D’ici 12 mois, la station devrait être opérationnelle. Une fois en service, elle produira 37 millions de mètres cubes d’eau par an, dont 7 millions seront destinés à l’approvisionnement en eau potable de Dakhla et ses environs, et 30 millions pour l’irrigation.

Le réseau d’irrigation, long de 113 km, aura un débit initial de 1 mètre cube par seconde. Le projet inclut également un investissement privé de 2,5 milliards de DH pour la mise en valeur du périmètre irrigué, avec une production annuelle estimée à plus de 415 000 tonnes de primeurs, générant une valeur ajoutée de 1 milliard de DH et créant plus de 10000 emplois permanents.

Voie express urbaine dAgadir

Les travaux de construction de la voie express urbaine d’Agadir avancent conformément au calendrier prévu, avec un taux d’achèvement de 45%. Le projet, qui devrait être livré en avril 2025, bénéficie d’un investissement de 177 millions de dirhams. Les équipes intensifient leurs efforts pour respecter cette échéance.

Une fois terminée, cette voie express contribuera à désengorger les autres axes routiers, en particulier aux heures de pointe, et à améliorer l’infrastructure routière d’Agadir, une ville à forte affluence touristique, tant nationale qu’internationale. Les travaux comprennent l’élargissement et le renforcement de la route, la réhabilitation du système de drainage des eaux pluviales, l’aménagement de pistes cyclables, la création d’espaces verts, la rénovation de l’éclairage public, l’amélioration des cheminements piétons et l’installation de nouveaux arrêts de bus.

Lire aussi | 171 projets approuvés par la Commission nationale des investissements

Le projet s’étend sur un tronçon de six kilomètres, reliant la Marina d’Agadir à l’aéroport Al Massira, et comprend plusieurs sections, dont celle de l’avenue des FAR à l’axe est-ouest (couloir souterrain de Tlila). Ce projet est supervisé par la Société de développement local (SDL) Agadir Souss Massa, dans le cadre du Programme d’aménagement urbain d’Agadir 2020-2024, lancé par le Roi Mohammed VI le 4 février 2020 à la Place Al Amal.

Une fois achevée, la voie express permettra de fluidifier la circulation et d’améliorer la mobilité dans cette capitale en pleine croissance démographique, en prévision de grands événements sportifs continentaux et internationaux.

Barrage Sidi Abbou à Taounate

Situé à environ 40 km de Taounate, le barrage Sidi Abbou progresse rapidement, avec un taux de réalisation de 80 % à ce jour. Ce projet ambitieux, qui surpasse les prévisions initiales, devrait être achevé dès août 2025, soit un an avant la date contractuelle prévue. Entièrement réalisé par des équipes marocaines, il s’inscrit dans une stratégie visant à répondre aux besoins croissants en eau de la région et à stimuler son développement socio-économique.

L’investissement pour la réalisation du barrage Sidi Abbou s’élève à 1,28 milliard de DH et permettra la création d’une retenue de 200 millions de mètres cubes. En plus de son impact sur l’agriculture irriguée, couvrant 5 000 hectares, il assurera l’approvisionnement en eau potable, la protection contre les inondations et la création d’emplois, avec plus de 360 000 jours de travail prévus.

Cette infrastructure reflète l’engagement du Maroc en matière de gestion durable des ressources en eau. Sa conception intègre des techniques innovantes, incluant un barrage principal en béton compacté et une digue en remblai avec noyau argileux, garantissant une gestion optimale des ressources hydriques dans la région.

Barrage AÔt Ziat à Al Haouz

Au cœur de la province d’Al Haouz, les travaux du barrage Aït Ziat avancent à un rythme impressionnant, avec un taux d’exécution de 72 %. Ce projet majeur, qui pourra stocker jusqu’à 186 millions de mètres cubes d’eau, sera opérationnel d’ici la fin 2025, soit deux ans avant la date initialement prévue, en 2027.

Ce barrage, d’une hauteur de 71 mètres, couvrira une superficie de près de 1 000 hectares avec un bassin versant de plus de 500 kilomètres carrés. Grâce aux efforts déployés, les délais ont été considérablement réduits, permettant d’anticiper l’arrivée des premières eaux.

Les travaux en cours se concentrent actuellement sur les remblais du barrage principal et le forage des prises d’eau destinées à l’irrigation et à l’approvisionnement en eau potable. La construction de routes parallèles désenclave les villages avoisinants, facilitant ainsi l’accès aux services essentiels pour les habitants locaux. L’installation des équipements électromécaniques et du déversoir des charges est également en cours.

Avec un budget de 1,83 milliard de DH, ce projet hydraulique sera le plus ambitieux de la région Marrakech-Safi. Il générera 450 000 journées de travail, offrira des opportunités de formation et améliorera les infrastructures locales, tout en optimisant la gestion des ressources en eau et en soutenant l’agriculture. Le lac qui se formera devrait également devenir un pôle de tourisme écologique.

524 centres de santé réhabilités

Le gouvernement prévoit de poursuivre en 2025 son programme de réhabilitation de près de 1 400 établissements de santé, dont deux tiers se trouvent dans des zones reculées. 

À ce jour, 872 centres ont déjà été réhabilités, et 524 autres (troisième phase) sont en cours de rénovation, avec une mise en service prévue pour avril 2025. 

Lire aussi | Boom des projets de construction en milieu rural

Ces centres bénéficieront de ressources humaines qualifiées et d’équipements médicaux modernes. L’objectif est de renforcer l’offre de soins dans les provinces de la région et de répondre à la demande croissante en services sanitaires pour les populations locales.

La Tour Mohammed VI

Rabat abrite désormais la plus haute tour du Maroc, la Tour Mohammed VI, qui culmine à 250 mètres et est visible à 50 kilomètres à la ronde. Ce bâtiment imposant se situe dans la vallée de Bouregreg, à proximité du Grand Théâtre de Rabat, offrant ainsi des vues spectaculaires sur la mer, la ville et des monuments emblématiques tels que la Tour Hassan et le Grand Théâtre.

Ce gratte-ciel de 55 étages et d’une superficie totale de 100 000 m abrite des appartements de luxe sur les étages intermédiaires, des bureaux dans les niveaux inférieurs, ainsi qu’une terrasse d’observation avec un podium sur deux étages. À ses niveaux supérieurs, on trouve l’Hôtel Waldorf Astoria Rabat-Salé, qui ouvrira ses portes en 2025. Ce complexe hôtelier s’étendra sur 18 étages, du 29e au 46e étage, et viendra enrichir l’offre touristique de la capitale avec une expérience unique dans le secteur hôtelier marocain.

En novembre dernier, O Tower et Hilton ont signé un contrat de gestion pour l’Hôtel de la Tour Mohammed VI sous la marque Waldorf Astoria. La Tour Mohammed VI comprendra également un centre multidisciplinaire, des restaurants, un spa, une piscine, un centre commercial et un parking. Ce projet, d’une valeur de 350 millions de dollars, est financé par Othman Benjelloun, président de Bank of Africa, et a été réalisé par les entreprises TGCC, leader marocain des travaux publics, SIXCO, filiale du groupe chinois CRCCI, ainsi que le groupe belge BESIX, connu pour la construction du Burj Khalifa de Dubaï.

Les travaux, lancés en 2018, sont désormais terminés et l’inauguration est prévue pour 2025, probablement à la fin du mois de mars.

Hôtel Lincoln

Après la réouverture du Royal Mansour de Casablanca en janvier 2024, c’est au tour de l’hôtel Lincoln de retrouver son éclat, là où sa légende a pris naissance. Situé en face du marché central, sur le boulevard Mohamed V, cet hôtel de luxe incarne désormais un nouveau centre d’excellence hôtelière dans la Ville Blanche. Érigé en 1917 par l’architecte français Hubert Bride, le célèbre établissement entamera, en 2025, un nouveau chapitre sous la marque Radisson Collection.

Les travaux, menés par le groupe français Réalités, devraient être achevés d’ici la fin du premier semestre 2025, avec un budget estimé à environ 330 millions de dirhams. L’objectif est de moderniser l’hôtel tout en conservant son caractère historique, dans le cadre d’une initiative globale visant à revitaliser le centre-ville.

Une fois rénové, l’hôtel, qui comptera 124 chambres, sera équipé de technologies modernes développées en collaboration avec des entreprises marocaines. Il ouvrira ses portes en 2025, en préparation de la Coupe d’Afrique des Nations qui se déroulera au Maroc du 21 décembre 2025 au 18 janvier 2026. Cette transformation contribuera à renforcer l’attractivité touristique et culturelle de la ville, tout en augmentant son rayonnement auprès des visiteurs et des investisseurs.

Avec une superficie de 13 500 m, le projet prévoit un hôtel 5 étoiles de grand standing, des espaces de séminaires, un rooftop avec un spa, un restaurant et une piscine. Premier bâtiment dont la façade a été inscrite à l’inventaire des monuments historiques du Maroc, l’hôtel Lincoln a été conçu en 1915 à la croisée des styles, entre la fin de l’architecture néo-mauresque et l’émergence d’un style distinctement casablancais.

Grand théâtre de Casablanca

Bien que le Grand théâtre de Casablanca ait été livré en 2019 après plusieurs années de construction, il reste toujours fermé, loin de l’objectif de devenir un centre culturel majeur pour la ville. Conçu par les architectes Christian de Portzamparc et Rachid Andaloussi, cet édifice impressionne par sa beauté architecturale, mais demeure inutilisé, créant frustration et interrogations. L’un des principaux obstacles à son ouverture : l’absence d’un modèle de gestion adapté.

Situé près de la place Mohammed V, le théâtre se distingue par son design moderne et ses dimensions exceptionnelles. Avec une superficie de 47.000 m, il offre une variété d’espaces modulables, incluant une salle principale de 1.800 places, dédiée aux spectacles internationaux, une salle polyvalente de 600 places pour des événements plus intimistes, ainsi qu’un amphithéâtre extérieur pouvant accueillir jusqu’à 8.000 spectateurs, parfait pour des festivals en plein air.

Casa Aménagement, maître d’ouvrage du projet, a récemment lancé un appel d’offres pour sélectionner l’entreprise en charge de l’audit final. Cela vise à vérifier que le projet respecte bien les engagements pris dans la convention de réalisation signée en avril 2011. Selon une source proche du dossier, l’ouverture du Grand théâtre de Casablanca est désormais prévue pour 2025.

Parking de la Ligue arabe et Parking Centre-Ville de Casablanca

A Casablanca, les travaux du parking souterrain de la Ligue arabe progressent rapidement avec un taux d’avancement de 60 %. Ce projet, situé à l’intersection du boulevard Brahim Roudani et de la rue Ali Bnou Abi Taleb, comprendra deux niveaux de sous-sols et pourra accueillir environ 500 véhicules. Un aménagement paysager de surface sera également réalisé, incluant les accès et les raccordements aux voies existantes.

Lire aussi | Une plateforme électronique de signalement des infractions liées au travail bientôt lancée

Le futur parking couvrira une superficie d’environ 7 000 m et devrait être livré en avril 2025. Il contribuera à améliorer la fluidité de la circulation dans cette zone stratégique. Côté tarifs, les prix de stationnement seront alignés sur ceux pratiqués dans la ville pour les parkings souterrains, avec des tarifs variant de 5 à 40 dirhams selon la durée de stationnement. Les utilisateurs réguliers auront la possibilité de souscrire des abonnements mensuels, dont les prix varieront entre 300 et 500 DH.

En plus du parking de la Ligue arabe, un autre projet de parking, le « Parking Centre-Ville », est prévu pour une livraison en juin 2025. Situé derrière l’hôtel Hyatt Regency, il offrira 680 places sur deux niveaux souterrains.

Morocco Mall Marrakech

Le Morocco Mall de Marrakech, actuellement achevé à 80%, devrait probablement être inauguré en 2025 par le groupe Aksal, son maître d’ouvrage. Ce futur centre commercial, s’étendant sur 147 430 m, offrira une expérience complète aux visiteurs grâce à ses espaces de loisirs, restaurants et enseignes. L’investissement total s’élève à 1,2 milliard de DH.

Initialement prévu pour mi-2024, le projet a pris du retard en raison de la lente reprise du marché marocain du retail. En effet, celui-ci a peiné à sortir du marasme, dissuadant ainsi le groupe Aksal d’accélérer les travaux. 

Depuis un an, le secteur, notamment celui du prêt-à-porter, fait face à une vague de fermetures de points de vente et à des départs d’enseignes internationales, qui préfèrent quitter le Maroc en raison des nombreux défis rencontrés. Ces derniers incluent des droits de douane élevés, des procédures douanières complexes pour l’importation des produits, notamment à cause de contrôles de laboratoire excessifs, une baisse du pouvoir d’achat liée à deux crises mondiales successives, et des impôts écrasants, notamment la taxe professionnelle, qui pénalise les locataires et freine le dynamisme du marché locatif commercial.

Patinoire de hockey sur glace

A Rabat, un projet ambitieux porté par le ministère des Sports voit le jour : la plus grande patinoire de hockey sur glace d’Afrique. Ce projet s’inscrit dans une volonté de diversifier l’offre sportive au Maroc et de promouvoir des disciplines peu pratiquées sur le territoire. 

L’Agence nationale des équipements publics (ANEP) a lancé les démarches pour construire cette installation, avec un budget de 246 millions de DH. La structure comprendra une salle omnisports moderne, incluant la patinoire et de nombreux équipements destinés aux sportifs professionnels et au grand public.

La conception du projet a été confiée à des experts reconnus, tels que le cabinet Archi Team Partners, le bureau d’études Diagonale Management et le bureau de contrôle Socotec Maroc, garantissant un respect des standards internationaux. Le complexe, d’une superficie de 16.190 m, se distingue par sa patinoire de 2524 m, offrant une surface de glace de 1738 m, la plus grande d’Afrique. Le projet inclut également des espaces dédiés au confort des visiteurs : gradins, cafétérias, vestiaires et zones techniques. Prévu pour être achevé en décembre 2025, ce complexe ouvrira de nouvelles perspectives pour le hockey sur glace au Maroc et pour diverses autres disciplines sportives.

 
Article précédent

Innovation technologique. Le Maroc brille au Consumer Electronics Show de Las Vegas

Article suivant

Ceci est l'article le plus récent.